Médecines alternatives et complémentaires vs médecine majoritaire.
Alternatives ou complémentaires à quoi ? A la médecine majoritaire et allopathique, bien sur.
Tout est affaire de compétence, le domaine de compétence de la médecine c’est la pathologie objectivable par l’imagerie, la biologie ou un tracé d’activité électrique. Ce n’est donc pas la santé, nous avons une assurance maladie… quelle perversité dans cette appellation ! Dans ce cadre là, les autres médecines sont dites complémentaires.
Elle utilisera des médicaments qui cassent des processus physiopathologiques, anti-inflammatoire, anti-histaminique, antibiotiques, antidépresseurs, etc. Ces médicaments ne permettent pas toujours d’accéder à la guérison et devront parfois être pris toute la vie.
Ces autres médecines, quelles sont-elles ?
L’homéopathie règlementée en France au profit des seuls médecins,
L’ostéopathie règlementée pour les médecins et les non médecins,
La médecine traditionnelle chinoise et la médecine ayurvédique,
Les médecines naturelles occidentales, naturopathie, phytothérapie, la nutrition, etc.
Le domaines de compétence de ces médecines est celui des pathologies fonctionnelles dans lesquelles on n’objective rien, cependant ça dysfonctionne. Le praticien cherchera alors à rétablir la physiologie défaillante et cherchant à traiter les conséquences mais aussi les causes sans dissocier le corps et l’esprit, les émotions… C’est en cela que l’on considère qu’elles sont des médecine douces. Dans ce cadre ces médecines constituent une véritable alternative très crédible à la médecine allopathique. Dans le même ordre d’idée, ces médecines holistiques permettent la prise en charge de manière complémentaire et/ou alternative des pathologies dégénératives de nos civilisations occidentales (neurologiques, rhumatoïdes, digestives ou sanguines) liées aux dysbioses intestinales et à l’hyper-perméabilité intestinale. Force est de reconnaitre que la prise en considération des origines de ces pathologies est totalement occulté par la médecine qui préfère traiter les symptômes plutôt que les causes.
Et la santé ? Là aussi il faut dire que les préconisations des médecines fonctionnelles en matière de santé et plus particulièrement dans le domaine de la nutrition mais aussi dans le domaine de la vaccination sont aux antipodes de ce que raconte la faculté. No comment !
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